Le durcissement du malus écologique 2025 inquiète de nombreux automobilistes qui craignent une hausse significative du coût d’achat de leur prochaine voiture. Ce nouveau barème, applicable dès mars 2025, abaisse le seuil de déclenchement à 113 g de CO2/km et augmente le plafond de la taxe à 70 000 euros. Les véhicules hybrides rechargeables perdent leurs avantages tandis que le coefficient forfaitaire de décote évolue pour les véhicules d’occasion importés. Découvrez les changements majeurs de cette taxe et leur impact sur le marché automobile français.
Sommaire
- Fonctionnement du malus écologique 2025
- Nouveau barème du malus CO2 2025
- Malus au poids des véhicules en 2025
- Application du malus aux véhicules d’occasion
- Exemptions et cas particuliers
- Évolution du malus en 2026 et 2027
- Conseils pratiques et simulateurs
Fonctionnement du malus écologique 2025
Le malus écologique 2025 est entré en vigueur le 1er mars, avec pour objectif d’orienter les achats vers des véhicules moins polluants. Cette taxe additionnelle se déclenche dès 113 g de CO2/km selon le malus écologique 2025 défini par le Ministère de l’Économie. Elle s’applique lors de la première immatriculation du véhicule sur le territoire français.
Le mécanisme du malus 2025 repose sur deux composantes distinctes qui se cumulent. D’une part, la taxe sur les émissions de CO2 dont le seuil de déclenchement est désormais fixé à 113 g/km (contre 118 g/km en 2024). D’autre part, le malus au poids qui concerne les véhicules dépassant 1 600 kg. Le plafond cumulé de ces deux taxes atteint 70 000 € pour les modèles les plus polluants, représentant une hausse significative par rapport aux années précédentes.
Nouveau barème du malus CO2 2025
Émissions de CO2 (g/km) | Malus écologique |
---|---|
Jusqu’à 112 | 0 € |
113 | 50 € |
114 | 75 € |
115 | 100 € |
… | … |
Supérieur à 192 | 70 000 € |
Le site du service public français indique que le barème du malus automobile a été rehaussé à partir du 1er mars 2025, avec un montant maximum fixé à 70 000 €, vous pouvez d’ailleurs consulter le barème en entier sur service-public.fr. Le seuil de déclenchement du malus, abaissé à 113 g de CO2/km en 2025 contre 118 g/km l’année précédente, touche maintenant davantage de véhicules.
L’augmentation du malus évolue de façon exponentielle en fonction des émissions de CO2. Ainsi, un véhicule émettant 136 g/km paiera 1 074 € au lieu de 650 € en 2024, tandis qu’à 188 g/km, le montant passe de 40 468 € à 55 023 €. Le plafond maximum est désormais atteint pour les véhicules émettant 193 g/km ou plus.
Source : Le barème du malus automobile est rehaussé
Malus au poids des véhicules en 2025
Seuil de déclenchement et calcul
Le malus au poids s’applique désormais aux véhicules dépassant 1 600 kg de masse en ordre de marche. Cette taxe se cumule avec le malus CO2, permettant d’atteindre le plafond maximal de 70 000 euros pour les véhicules les plus imposants et polluants.
Le barème du malus au poids suit une progression par tranches avec des tarifs différenciés selon la masse du véhicule. Entre 1 600 et 1 799 kg, chaque kilo excédentaire est taxé à 10 euros. De 1 800 à 1 899 kg, le tarif grimpe à 15 euros par kilo. Pour les véhicules entre 1 900 et 1 999 kg, comptez 20 euros par kilo. La taxation atteint 25 euros entre 2 000 et 2 099 kg, puis 30 euros au-delà de 2 100 kg.
Masse en ordre de marche (kg) | Tarif par kg excédentaire |
---|---|
Jusqu’à 1 599 | 0 € |
De 1 600 à 1 799 | 10 € |
De 1 800 à 1 899 | 15 € |
De 1 900 à 1 999 | 20 € |
De 2 000 à 2 099 | 25 € |
À partir de 2 100 | 30 € |
Ce malus est cumulable avec le malus CO2, dans la limite de 70 000 €. |
Source : Le barème du malus automobile est rehaussé
Exemptions du malus au poids
En 2025, certains véhicules bénéficient d’une exemption totale du malus au poids. Les véhicules électriques en sont totalement dispensés, contrairement aux hybrides rechargeables qui perdent cet avantage fiscal. Cette disparité marque une orientation claire de la politique environnementale.
L’année 2026 verra la fin de l’exemption pour les véhicules électriques, avec un abaissement simultané du seuil de déclenchement de 100 kg. Seuls les modèles à hydrogène conserveront leur exonération. Les constructeurs automobiles devront revoir leur stratégie de conception pour les modèles électriques, qui jusqu’alors pouvaient compenser leur poids important lié aux batteries par cette exemption de taxe.
Impact sur les constructeurs et modèles
Ce dispositif fiscal touche particulièrement les SUV et les berlines premium. Chez Renault, l’Espace et l’Austral hybrides sont directement concernés avec leurs masses respectives dépassant le seuil fatidique. Les véhicules importés de marques étrangères sont également impactés.
Le marché automobile français subit une transformation importante avec ce malus au poids. Les constructeurs explorent déjà des solutions d’allègement des structures et des technologies embarquées. L’utilisation de matériaux composites et d’aluminium devient prioritaire dans les cahiers des charges des ingénieurs automobiles. Cette taxe vise aussi à freiner la tendance au gigantisme des véhicules observée depuis plusieurs années.
Application du malus aux véhicules d’occasion
Véhicules d’occasion importés
Le malus écologique s’applique aux véhicules d’occasion importés lors de leur première immatriculation sur le territoire français. Ce système vise à harmoniser la fiscalité entre véhicules neufs et d’occasion. Le calcul s’effectue selon le barème en vigueur l’année de la première immatriculation à l’étranger avec une décote selon l’ancienneté.
Pour bien comprendre le nouveau coefficient forfaitaire de décote, voici les points essentiels à retenir :
- Calcul : coefficient forfaitaire de décote remplace l’ancien système linéaire de décote de 10 % par an, avec des pourcentages de décote variables selon l’âge du véhicule, calculés sur une période de 15 ans (180 mois).
- Pourcentages : Les pourcentages de décote sont plus élevés au cours des premières années, reflétant la dépréciation plus rapide des véhicules récents, allant de 3% pour les véhicules de 1 à 3 mois à 94% pour ceux de 169 à 180 mois.
- Exonération : Un véhicule importé est totalement exonéré de malus à partir de 181 mois (15 ans), car à ce stade, le coefficient de décote atteint 100 %, annulant ainsi tout malus potentiel.
En résumé, ce système favorise l’importation de véhicules plus anciens en réduisant significativement, voire en annulant, le malus écologique.
Âge du véhicule (en mois) | Coefficient de décote (%) |
---|---|
1 à 3 | 3% |
4 à 6 | 6% |
7 à 9 | 9% |
10 à 12 | 12% |
13 à 18 | 16% |
19 à 24 | 20% |
… | … |
169 à 180 | 94% |
Plus de 180 | 100% |
Véhicule totalement exonéré de malus à partir de 181 mois (15 ans). |
Les véhicules de plus de 15 ans sont donc entièrement exonérés de malus lors de leur importation. Cette mesure influence le marché en rendant plus attrayante l’importation de modèles anciens, notamment pour les collectionneurs ou amateurs de véhicules spécifiques introuvables en France.
Source : LOI n° 2025-127 du 14 février 2025 de finances pour 2025
Coefficient d’usage en 2027
À partir du 1er janvier 2027, un coefficient d’usage basé sur le kilométrage viendra compléter le coefficient forfaitaire de décote. Ce dispositif additionnel permettra d’affiner le calcul du malus en tenant compte de l’utilisation réelle du véhicule et de son impact environnemental effectif.
Le barème de ce coefficient d’usage offrira un abattement supplémentaire variant selon la distance parcourue annuellement. Les réductions iront de 0% pour les véhicules parcourant moins de 20 000 km par an jusqu’à 3,5% pour ceux dépassant 45 001 km annuels, permettant ainsi une taxation plus équitable basée sur l’usage réel.
Malus sur l’occasion à partir de 2026
Dès le 1er janvier 2026, le malus écologique sera étendu aux véhicules d’occasion immatriculés depuis le 1er janvier 2015, même s’ils sont déjà en circulation en France. Cette mesure particulièrement importante concerne les transferts de propriété et non seulement les importations.
Cette extension touchera particulièrement les véhicules ayant bénéficié d’une exonération lors de leur première immatriculation, comme ceux adaptés aux personnes handicapées. Lors de leur revente à un acquéreur ne remplissant pas les conditions d’exonération, le malus devra être acquitté selon le barème de l’année de première immatriculation avec la décote applicable.
Impact sur le marché de l’occasion
Ces nouvelles mesures auront des répercussions notables sur le marché automobile d’occasion français. Nous pouvons anticiper une dévaluation des véhicules polluants et lourds, tandis que les modèles à faibles émissions et les véhicules de plus de 15 ans verront probablement leur attractivité augmenter face à cette fiscalité écologique.
Pour comprendre ce nouveau cadre fiscal, les acheteurs devraient utiliser le simulateur officiel de coût du certificat d’immatriculation disponible sur le site de l’ANTS. Les vendeurs, quant à eux, devront ajuster leurs prix en tenant compte du malus potentiel que devra acquitter l’acheteur lors du changement d’immatriculation.
Exemptions et cas particuliers
Véhicules électriques et hybrides
Les véhicules électriques et à hydrogène bénéficient d’une exemption totale du malus CO2 ainsi que du malus au poids en 2025. Cette mesure vise à encourager l’adoption de technologies moins polluantes et à accélérer la transition vers une mobilité plus durable.
La situation change radicalement pour les hybrides en 2025. L’article 97 de la loi de finances supprime leurs exonérations de malus masse et de taxe CO2 annuelle. Des abattements sont toutefois prévus pour certains modèles hybrides rechargeables, notamment une réduction de 200 kg sur le calcul du seuil de masse. Cela représente un tournant majeur dans la politique fiscale automobile française.
Véhicules adaptés et personnes handicapées
Les véhicules spécialement aménagés pour les personnes en situation de handicap sont exemptés du malus écologique lors de leur première immatriculation. Cette exonération s’applique également aux personnes détentrices d’une carte mobilité inclusion portant la mention invalidité.
Dès 2026, cette exemption ne restera valable que pour le premier propriétaire. Un véhicule précédemment exonéré pour cause de handicap sera soumis au malus lors de sa revente si le nouvel acquéreur ne remplit pas les conditions d’exemption. La taxe sera calculée selon le barème en vigueur lors de la première immatriculation, avec application du coefficient forfaitaire de décote basé sur l’âge. Cette mesure pourrait affecter significativement la valeur de revente de ces véhicules.
Véhicules professionnels et spécificités
Pour les entreprises, le malus écologique représente une charge supplémentaire qui peut impacter leur flotte automobile. Les véhicules utilitaires classiques échappent généralement à cette taxe, mais cette exemption ne s’applique pas à tous les véhicules professionnels, ce qui peut influencer les choix d’équipement des sociétés.
Les pick-up et camions hors route sont également concernés par le malus dès qu’ils comportent cinq places assises ou plus. Cette disposition, introduite par l’article 97 de la loi de finances pour 2024, vise à combler une faille qui permettait d’échapper au malus pour certains véhicules volumineux utilisés comme voitures particulières. L’usage professionnel de ces véhicules ne constitue pas automatiquement un motif d’exemption.
Évolution du malus en 2026 et 2027
Prévisions pour le malus CO2
Le système fiscal automobile prévoit une trajectoire progressive pour le malus écologique après 2025. La baisse du seuil de déclenchement se poursuivra avec une diminution de 5 g/km chaque année, atteignant 108 g/km en 2026 puis 103 g/km en 2027.
Parallèlement à cette baisse du seuil de pollution, les montants maximaux de la taxe continueront d’augmenter. Le plafond atteindra 80 000 € pour les véhicules émettant 192 g/km en 2026, puis 90 000 € pour ceux dépassant 191 g/km en 2027. Cette hausse drastique, qui a multiplié le malus par 35 depuis 2008, témoigne d’une fiscalité de plus en plus contraignante. Les familles nécessitant des véhicules spacieux seront particulièrement touchées par ces mesures qui rendront de nombreux modèles grand public prohibitifs.
Évolution du malus au poids
Le coefficient forfaitaire de décote pour le malus au poids évoluera également avec un abaissement du seuil d’application à 1 500 kg dès 2026. Cette réduction de 100 kg par rapport au barème 2025 élargira considérablement le nombre de véhicules concernés.
La réforme de 2026 marquera également la fin de l’exonération totale pour les véhicules électriques vis-à-vis du malus au poids. Seuls les modèles à hydrogène conserveront ce privilège fiscal. Pour les véhicules électriques, un abattement de 600 kg sera néanmoins appliqué, ce qui signifie qu’ils ne seront taxés qu’à partir de 2,1 tonnes. Cette mesure reflète la volonté du législateur de lutter contre l’augmentation généralisée du poids des véhicules, indépendamment de leur motorisation. Elle pourrait freiner l’essor des SUV électriques lourds tout en préservant l’attractivité des modèles compacts.
Conseils pratiques et simulateurs
Comment calculer son malus
Le calcul du malus écologique s’effectue en fonction des émissions de CO2 et du poids du véhicule. Pour déterminer le montant applicable, il faut consulter le certificat d’immatriculation qui indique les émissions en g/km selon la norme WLTP ainsi que la masse en ordre de marche. Ces deux valeurs permettent ensuite d’appliquer les barèmes en vigueur depuis le 1er mars 2025.
Type de simulateur | Informations nécessaires |
---|---|
Simulateur officiel (service-public.fr) | Émissions CO2, poids, date de première immatriculation |
Simulateurs des constructeurs | Modèle, motorisation, options |
Simulateurs spécialisés véhicules importés | Émissions CO2, date première immatriculation à l’étranger |
Les résultats peuvent varier selon la précision des données fournies. |
L’utilisation du simulateur officiel proposé par l’administration française constitue la méthode la plus fiable pour anticiper le coût du certificat d’immatriculation. Ce service gratuit prend en compte tous les paramètres du véhicule et applique automatiquement les coefficients forfaitaires de décote pour les véhicules d’occasion importés, évitant ainsi les erreurs de calcul.
Stratégies pour réduire son malus
Face à un barème du malus écologique de plus en plus contraignant, plusieurs solutions permettent de limiter ou éviter cette taxe. Notamment l’acquisition de véhicules électriques ou hybrides rechargeables qui bénéficient encore d’avantages fiscaux substantiels. Le choix d’une motorisation adaptée peut faire la différence entre payer ou non le malus.
- Motorisations : Privilégier les motorisations à faibles émissions de CO2, comme les véhicules électriques ou hybrides rechargeables, qui bénéficient d’exonérations ou de réductions de malus.
- Options : Éviter les options qui augmentent le poids ou les émissions de CO2 du véhicule, car elles peuvent impacter le montant du malus.
- Occasion : Considérer l’achat d’un véhicule d’occasion déjà immatriculé en France, car le malus ne s’applique qu’à la première immatriculation.
- Importation : Explorer l’importation de véhicules d’occasion de plus de 15 ans, totalement exonérés de malus, tout en tenant compte des frais et démarches administratives.
La location longue durée (LLD) et la location avec option d’achat (LOA) offrent des alternatives intéressantes face au malus. Avec ces formules, c’est le loueur qui s’acquitte initialement de la taxe, ce qui permet d’étaler son coût sur la durée du contrat. Cette solution avantage particulièrement les professionnels qui peuvent déduire les loyers de leur résultat imposable et gère plus facilement ces dépenses comme frais d’exploitation.
Pour ceux qui envisagent de passer à l’électrique afin d’éviter le malus, il est important de bien évaluer son budget. Découvrez combien vous devriez vraiment payer pour une voiture électrique.
Le malus écologique 2025 représente une évolution importante dans la politique fiscale automobile française avec son seuil abaissé à 113 g/km de CO2 et son plafond porté à 70 000 €. La taxation au poids touchera davantage de véhicules tandis que le nouveau coefficient forfaitaire de décote apporte une vision plus réaliste pour les véhicules d’occasion importés. Préparez-vous dès maintenant à ces changements en utilisant les simulateurs officiels pour anticiper vos coûts et en considérant les véhicules à faibles émissions pour éviter cette taxe qui ne cessera de se durcir jusqu’en 2027.
FAQ
Quelle voiture a le plus gros malus écologique ?
En 2025, le malus écologique maximal est de 70 000 € et s’applique aux véhicules émettant plus de 192 g de CO2/km selon la norme WLTP. Il n’est pas possible d’identifier un modèle spécifique qui serait toujours associé à ce malus maximal.
Cela dépend des émissions de CO2 du véhicule, qui varient selon le modèle, la version et les options. Tout véhicule dépassant ce seuil de 192 g de CO2/km sera soumis à ce malus maximal.
Le prix des voitures va-t-il baisser en 2025 ?
Avec le durcissement du malus écologique en 2025, il est peu probable que le prix des voitures baisse de manière générale. Au contraire, les modèles thermiques, encore largement plébiscités, devraient voir leur coût à l’achat augmenter, en raison de l’alourdissement de la grille tarifaire du malus CO2 et du malus masse.
Cependant, les véhicules électriques et hybrides rechargeables bénéficient d’incitations fiscales et sont souvent épargnés par le malus, ce qui pourrait potentiellement rendre ces modèles plus attractifs en termes de prix relatif par rapport aux véhicules thermiques. De plus, l’achat de véhicules d’occasion permet d’éviter le malus, qui ne s’applique qu’aux véhicules neufs.
Quel sera le bonus écologique en 2025 ?
Le bonus écologique en 2025 est une aide financière destinée aux particuliers souhaitant acquérir ou louer une voiture particulière électrique neuve. Le montant de ce bonus est modulé en fonction du revenu fiscal de référence (RFR) par part du ménage, allant de 2 000 € à 4 000 €.
Pour être éligible au bonus écologique, le véhicule doit respecter plusieurs critères, notamment être une voiture particulière électrique ou hydrogène neuve, avoir un prix d’achat inférieur à 47 000 €, peser moins de 2,4 tonnes et avoir obtenu un score environnemental suffisant.
La taxe sur les voitures électriques en 2025, quel montant ?
En 2025, il n’y a pas de taxe spécifique sur les voitures électriques en tant que telles. Cependant, le malus écologique est renforcé, et bien que les véhicules électriques soient généralement exonérés du malus CO2, le « malus masse » (taxe au poids) pourrait s’appliquer à certains véhicules électriques à partir de 2026.
À partir du 1er juillet 2026, une exonération est prévue pour les véhicules à faible empreinte carbone dont la source d’énergie est exclusivement l’électricité. Pour les autres véhicules électriques, un abattement de 600 kg est prévu pour compenser la masse des batteries. Le malus au poids s’applique aux véhicules de plus de 1600 kg en 2025, avec un barème progressif.